Ce petit rongeur au poil gris et au regard coquin que nous avions tellement l’habitude de croiser dans nos campagnes serait en danger d’extinction.
Les experts ne s’expliquent pas le phénomène, pourtant les chiffres sont formels, rien ne saurait sauver l’espèce.
Chercheur au CNRS, le Professeur Sourir étudie la question depuis plus de 30 ans: “c’est à n’y rien comprendre. Autant l’hécatombe des années 80 peut se comprendre pour bien des raisons déjà longuement débattues et largement admises, autant les courbes de ces dernières années restent inexplicables. Toutes les conditions environnementales sont réunies pour que le gauchiste prospère, mais rien n’y fait, il dépérit.”
L’écosystème français de ce début de 21ième siècle est effectivement un terreau très fertile en abus de confiance, régulièrement enrichi en bouses dérégulatrices, rien de mieux pour faire pousser la révolte populaire dont se nourrit le petit rongeur trotskyste, mais rien ne semble y faire, les petits gauchistes ne se reproduisent plus. Ils semblent comme attirés par les soirées libre échangistes au cours des quelles les pauvres petites bêtes se font systématiquement abuser par des chasseurs affamés jusque dans les bosquets des Sofitels les plus reculés.
Le professeur émet l’hypothèse d’une perturbation endocrinienne liée à la pollution libérale omniprésente. “Le gauchiste semble avoir perdu une aptitude physiologique normalement innée et absolument vitale pour tout être vivant: la reconnaissance instinctive de ses prédateurs. Au lieu de fuir les terres hostiles infestées de rapaces, on voit de plus en plus souvent des hordes de gauchistes flâner à découvert et se vautrer en toute inconscience dans les plaines capitalistes. Comme sous le charme d’une drogue hallucinogène, le petit gauchiste se perd dans des délires de croissance et de retour à l’emploi. C’est un véritable massacre”
Un facteur pourrait toutefois expliquer en partie ce drame: l’expansion anachronique du frontiste musqué. Ce petit nuisible pullule et envahit des territoires jusque là occupés par les petits gauchistes.
Article sous licence Complete Bullshit
(c) photos
Jérome de La Fontaine est bien rongeur ce matin !
Cette étude est intéressante mais je crois qu’il faut faire la distinction entre le gauchiste des villes et le gauchiste des champs qui subit dans nos campagnes, depuis des décennies, des doses massives d’OGM (Odieux Gros Manipulateurs) de la part de la FNSEA (Financiarisation Nauséabondes de L’Environnement Agricole) Je pense même que le frontiste musqué est le résultat d’une manipulation génétique d’un gauchiste des champs échappé des laboratoires Monsanto.
Punaise, merci pour le fou rire 😀
Je partage sur Diaspora dès que possible !
Complètement désorientés par les pesticides médiatiques comme le Pujadasixium(tm), JPpernol(tm) ou le Cohen2000 ™, on en a même vu des petits gauchistes s’en prendre à leur propre colonie.
Quelques molécules existent pourtant pour enrayer ces ravages, comme le Basta, le FakirPikar ou le Diplodumois, mais leur distribution reste trop confidentielle pour être efficace.