Sugata Mitra : Construire une Ecole dans le Cloud

7 réactions sur “Sugata Mitra : Construire une Ecole dans le Cloud

  1. Tout simplement totalement en phase avec ce rêve d’école « différente » (j’ajoute pour tous, réellement : tous ceux qui sont demandeurs, quelque soit leur âge, leur état de santé, leur sexe, ou ch’sais pas quoi).
    Cette étude géniale que vous partagez, me fait penser à cette autre belle vidéoconférence – dont voici le lien
    http://www.ted.com/talks/lang/pt/bunker_roy.html#.Tty9NE-cDhE.facebook
    Sanjit Bunker Roy témoigne modestement de merveilles qui redonnent confiance en l’homme et ses infinis possibles… cool, rigolo, intelligent… à vivre sans modération !
    Meilleurs voeux pour de fabuleux rêves à vivre d’urgence, à toutes et tous, xant

    Pour avoir les sous-titres en français, sous le bouton de lecture, vous avez un menu libellé « Subtitles available in : », choisissez « French (France) ».

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    Bien cordialement,

    Xantal RICHARD

  2. Je bug des doigts donc le message est parti avant que j’aie pu ajouter un livre : « Totto-chan : la petite fille à la fenêtre » écrit par Tetsuko Kuroyanagi.
    C’est un témoignage encore, bien plus ancien que les vidéos citées, mais d’une grande portée…
    Je m’en inspire tout le temps.
    Je l’offre à mes amis enseignants, ou parents d’élèves en recherche de « meilleur », ou encore je le lis à certains enfants souffrant de leurs difficultés « d’adaptation »…

  3. Ah décidément, tu cites encore une de mes références. J’ai eu un coup de foudre pour cet homme la première fois que j’ai eu la chance de visionner une de ses conférences. Et pour faire le lien avec ton dernier sujet sur l’Internet enseigné à l’école, j’ai voulu partir de ses travaux pour mon mémoire de master d’instit (oui, on fait un master d’instit, qui est la même chose qu’avant, parce que les mêmes profs, mais c’est un master de recherche… enfin, ça a encore changé cette année… passons.) Voilà, j’ai essayé, mais entre un pro de powerpoint et une farouche anti-Net comme directeurs de mémoire, dure tâche que de défendre son bout de pain. A savoir que les références « officielles agréées PUF i tutti quanti » en la matière que j’ai trouvées sur le sujet remontent, pour les plus récentes, à 2007 ! Autant dire un siècle numérique… et pourtant, cette synthèse, déjà, pointait le fait que la seule utilisation pertinente de l’informatique à l’école passait par la recherche d’information, que tout le reste relevait du gadget. Voilà, un beau sujet… enfin, c’est pas comme si on demandait à un mémoire de master qu’il soit utile ou tente d’apporter une petite pierre à l’édifice… L’inertie de l’institution a fini par avoir la peau de mon courage… pour le moment !
    Alors moi aussi, je suis colère parfois. Je suppose que l’utilisation du Net que font mes mômes dresserait tous les poils du corps enseignant d’un coup. Bon, il y a des exceptions, je les suis sur Twitter, ils ne sont pas si nombreux, je crois qu’il y en a un qui s’appelle Quiche ou Quichotte, me rappelle plus vraiment… 😉
    Voilà, tout ça pour dire qu’il faut vraiment en finir avec la transmissions des savoirs, même si officiellement, c’est déjà d’actualité. Apprendre à apprendre, c’est déjà mieux. Apprendre à aimer apprendre, c’est l’essentiel.
    Et je /hug tous les Kevin et Kevina de France et d’ailleurs qui voient leur prénom systématiquement utilisé pour symboliser l’élève en échec ou à problème dans les mises en situation en cours dans la fabuleuse Espé ex-IUFM de par chez moi.
    /bises

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